De récentes découvertes pourraient permettre de prévenir et de mieux traiter la polyarthrite rhumatoïde. En étudiant une combinaison de facteurs environnementaux et génétiques, trois chercheurs ont découvert de nouvelles informations pour lesquelles ils ont reçu le prix Crafoord de l'Académie royale de Suède. « Leur travail de détective ciblé a abouti à l'hypothèse selon laquelle la maladie résulte de l'interaction entre l'hérédité génétique et les influences environnementales », a déclaré l'Académie. « Cette connaissance accrue des causes de la maladie devrait déboucher sur des traitements plus précis. »
Dans le cadre d’autres recherches, le Dr C. Michael Stein, chef adjoint et directeur de la bourse de recherche du centre médical de l’université Vanderbilt, a consacré sa carrière à l’exploration des causes cachées de la polyarthrite rhumatoïde et des ravages qu’elle provoque sur le corps de ses victimes. Les recherches du Dr Stein examinent l’inflammation produite par la polyarthrite rhumatoïde. Cette inflammation provoque des effets subtils sur le cœur. « Nous pensons que ces effets peuvent être détectés tôt, avant que des dommages ne se produisent. Si c’est le cas, nous pourrions être en mesure de trouver des moyens de réduire le risque d’insuffisance cardiaque chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. » Ces recherches pourraient un jour conduire à la médecine personnalisée, et même inverser le processus d’inflammation.
Aujourd'hui, les personnes souffrant de détérioration du cartilage et de polyarthrite rhumatoïde peuvent trouver un soulagement de la douleur avec la formule rhumatoïde Lakota. Elle combine les effets de renforcement du cartilage de la thérapie au collagène de type II avec l'acide aminé L-Proline. Son efficacité est prouvée. Les personnes souffrant d'arthrose combinent souvent la formule rhumatoïde Lakota avec la formule de soins articulaires Lakota pour obtenir des résultats positifs.
